Vendredi matin, pas de grasse matinée possible car j'avais mis en place un dispositif sonnant infaillible : deux téléphones, un iPod, un réveil, volume à fond et l'appel d'un ami ! Cette fois-ci, j'arrive largement on time au terminal 2 de Kobenhavn, effectivement assez bordélique comme on me l'avait dit... je trouve le comptoir d'enregistrement d'Air Baltic, c'est déjà ça, c'est une compagnie qui existe vraiment ! Et ils ont même de vrais avions, la preuve :
Self-portrait in departure lounge :
Jusque là, tout allait bien... puis un retard d'une demie heure est annoncée pour l'embarquement, étant données les conditions climatiques :
Sachant que j'ai seulement une heure de battement entre les deux vols, je commence à avoir quelques sueurs... au final on décolle avec 1h40 de retard, et là je commence à me préparer mentalement à passer une nuit en Lettonie. Je pose la question à la charmante hôtesse lettone, qui me répond avec un grand sourire que c'est sur que je vais le rater, mais que ce n'est pas grave, il y en a un autre... le lendemain !! Au bout d'un peu plus d'une heure de vol, à ma grande surprise, "fasten seat belt", nous approchons de Riga !!! Je ne comprends plus rien à ce moment là, car sur le billet j'avais vu 2h20 de vol... magnifique temps ensoleillé sur Riga, sur un paysage enneigé, mais à peine plus qu'à Copenhague. Des forêts parsemées de maisons colorées, avec des formes variées, c'est mignon et me fait penser à une maquette ! Bon, -12°C annoncés... ah... quand même !
Il est 11h15 à ma montre, je me dis, super, je ne comprends pas ce mystère, mais je vais réussir à attraper mon vol pour Paris qui est à 11h30 ! Petite course dans les couloirs de l'aéroport de Riga, ultra moderne, et arrivée à la porte d'embarquement, celui-ci n'a même pas commencé ! Un peu plus au calme, je réfléchis, aidée par mon téléphone portable qui me demande si je veux me synchroniser au nouveau fuseau horaire... c'était donc cela : il y a une heure de décalage avec la Lettonie, en fait il est 12h30 et l'avion a plus d'une heure de retard !!! le mystère est résolu, et finalement tous ces retards se combinent parfaitement !
Après maintes étapes d'attente, sur le tarmac dans le bus, puis sur la passerelle d'accès à l'avion (sur laquelle on a le temps de se rendre compte qu'il fait effectivement -12°C...), on décolle enfin avec presque deux heures de retard. La raison, apparemment, est que Roissy est fermé jusqu'à 15h à cause de la neige et du froid... Effectivement, c'est snowy aussi in Paris !
Tout se passe bien à l'arrivée, je récupère mon sac, bien rafraîchi par ce voyage dans le nord, puis regagne le terminal 2, récupère mon billet de TGV, dernière étape, et constate avec plaisir qu'il fait partie des trains annoncés à l'heure ! Pauvre petite fille naïve... à 17h02, soit une minute après l'heure de départ prévue, les panneaux d'affichage indiquent soudain un retard de... 1h15 pour notre train !! Retour dans la bétonnée et glaciale gare de Roissy-TGV pour une nouvelle attente... 1h40 de retard quand il arrive enfin, c'est si bon de se réchauffer dans ce merveilleux train, et de déguster un délicieux croque-monsieur SNCF à 9,50 € ! Comme quoi, le bonheur est tout relatif... on roule doucettement, parfois on s'arrête aussi, informé par les messages hyper pertinents de notre équipage... au final, presque 3 heures de retard à l'arrivée à Avignon, mais je ne me plains pas car le train n'est jamais arrivé à destination, bloqué en rase campagne entre Marseille et Toulon...
Self-portrait in departure lounge :
Jusque là, tout allait bien... puis un retard d'une demie heure est annoncée pour l'embarquement, étant données les conditions climatiques :
Sachant que j'ai seulement une heure de battement entre les deux vols, je commence à avoir quelques sueurs... au final on décolle avec 1h40 de retard, et là je commence à me préparer mentalement à passer une nuit en Lettonie. Je pose la question à la charmante hôtesse lettone, qui me répond avec un grand sourire que c'est sur que je vais le rater, mais que ce n'est pas grave, il y en a un autre... le lendemain !! Au bout d'un peu plus d'une heure de vol, à ma grande surprise, "fasten seat belt", nous approchons de Riga !!! Je ne comprends plus rien à ce moment là, car sur le billet j'avais vu 2h20 de vol... magnifique temps ensoleillé sur Riga, sur un paysage enneigé, mais à peine plus qu'à Copenhague. Des forêts parsemées de maisons colorées, avec des formes variées, c'est mignon et me fait penser à une maquette ! Bon, -12°C annoncés... ah... quand même !
Il est 11h15 à ma montre, je me dis, super, je ne comprends pas ce mystère, mais je vais réussir à attraper mon vol pour Paris qui est à 11h30 ! Petite course dans les couloirs de l'aéroport de Riga, ultra moderne, et arrivée à la porte d'embarquement, celui-ci n'a même pas commencé ! Un peu plus au calme, je réfléchis, aidée par mon téléphone portable qui me demande si je veux me synchroniser au nouveau fuseau horaire... c'était donc cela : il y a une heure de décalage avec la Lettonie, en fait il est 12h30 et l'avion a plus d'une heure de retard !!! le mystère est résolu, et finalement tous ces retards se combinent parfaitement !
Après maintes étapes d'attente, sur le tarmac dans le bus, puis sur la passerelle d'accès à l'avion (sur laquelle on a le temps de se rendre compte qu'il fait effectivement -12°C...), on décolle enfin avec presque deux heures de retard. La raison, apparemment, est que Roissy est fermé jusqu'à 15h à cause de la neige et du froid... Effectivement, c'est snowy aussi in Paris !
Tout se passe bien à l'arrivée, je récupère mon sac, bien rafraîchi par ce voyage dans le nord, puis regagne le terminal 2, récupère mon billet de TGV, dernière étape, et constate avec plaisir qu'il fait partie des trains annoncés à l'heure ! Pauvre petite fille naïve... à 17h02, soit une minute après l'heure de départ prévue, les panneaux d'affichage indiquent soudain un retard de... 1h15 pour notre train !! Retour dans la bétonnée et glaciale gare de Roissy-TGV pour une nouvelle attente... 1h40 de retard quand il arrive enfin, c'est si bon de se réchauffer dans ce merveilleux train, et de déguster un délicieux croque-monsieur SNCF à 9,50 € ! Comme quoi, le bonheur est tout relatif... on roule doucettement, parfois on s'arrête aussi, informé par les messages hyper pertinents de notre équipage... au final, presque 3 heures de retard à l'arrivée à Avignon, mais je ne me plains pas car le train n'est jamais arrivé à destination, bloqué en rase campagne entre Marseille et Toulon...
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